Voici quelques extraits du Tome 4 !
Extrait du chapitre "Le tournoi des trois sorciers", Chapitre 12.
Après le banquet de début d'année.
- Et voilà ! Dit Dumbledore avec un grand sourire, maintenant que nous avons été nourris et abreuvés, je dois une fois de plus, vous demander votre attention afin de vous donner quelques informations. Mr Rusard, le concierge, m'a demandé de vous avertir que la liste des objets interdits dans l'enceinte du château comporte également cette année les Yo-Yo hurleurs, les frisbees à dents de serpent et les Boomerangs à mouvement perpétuel. La liste complète comprend quatre-cent-trente sept articles, si mes souvenirs sont exacts, et peut être consultée dans le bureau de Mr Rusard, pour ceux qui seraient intéressés.
Je voudrai également vous rapeler que, comme toujours, la forêt est interdite à tous les élèves, et le village de Pré-au-lard à celles et ceux qui n'ont pas atteint la troisième année d'études. Je suis également au regret de vous annoncer que la Coupe de Quiditch des Quatres maisons n'aura pas lieu cette année.
- Quoi ? Bredouilla Harry.
Il se retourna vers Fred et George, ses coéquipiers de l'équipe de Quiditch de Gryffondor. Trop effarés pour pouvoir parler, ils regardaient Dumbledore les yeux ronds, leurs lèvres remuant silencieusement.
- Cela est du, continua Dumbledore, à un évènement particulier qui commencera en octobre et se poursuivra tout au long de l'année scolaire, en exigeant de la part des professeurs, beaucoup de temps et d'énergie. Mais je suis persuadé que vous en serez tous enchanté. J'ai en effet le grand plaisir de vous annoncer que le tournoi des trois sorciers se déroulera cette année à Poudlard.
- Vous PLAISANTEZ ! S'exclama Fred Weasley.
- Non, je ne plaisante pas, Mr Weasley, dit-il. Mais si vous aimez la plaisanterie, j'en ai entendu une très bonne cette été. C'est un troll, une harpie et un farfadet qui entrent dans un bar...
Le professeur Mcgonagall s'éclaircit bruyamment la gorge.
- Heu... C'est vrai..., dit Dumbledore. Le moment n'est peut-être pas venu de... Où en étais-je? Ah oui, le tournoi des trois sorciers... Certains d'entre vous ne savent pas en quoi conciste ce tournoi, je demande donc à ceux qui savent de me pardonner d'avoir à donner quelques explications.
Le tournoi des trois sorciers a eu lieu pour la première fois il y a 700 ans. Il s'agissait d'une compétition amicale entre les trois plus grandes écoles de sorcellerie d'Europe - Poudlard, Beauxbâtons et Durmstrang. Un champion était sélectionné pour représenter chacune des écoles et les trois champions devaient accomplir trois tâches à caractère magique. Chaque école accueillait le tournoi à tour de rôle tous les 5 ans et tout le monde y voyait un excellent moyen d'établir des relations entre jeunes sorcières et sorciers de différentes nationalités - jusqu'à ce que le nombre de morts devienne si élevé que la décision fut prise d'interrompre le tournoi.
- Le nombre de morts? Chuchota Hermione, effarée.
- Au cours des siècles, il y a eu plusieurs tentatives pour rétablir le tournoi, poursuivit Dumbledore, mais aucune n'a rencontré un grand succès. Cette année, pourtant, notre Département de la coopération magique internationale et celui des jeux et sports magique ont estimé que le moment été venu d'essayer de le faire revivre. Un juge impartial décidera quels sont les élèves qui sont les plus dignes de concourir pour le trophée des trois sorciers, la gloire de leur école et une récompense de mille gallions.
Je sais que vous êtes tous impatients de rapporter à Poudlard le trophée des trois sorciers, mais les responsables des trois écoles de compétition, en accord avec le ministère de la Magie, ont jugé qu'il valait mieux, cette année, imposer de nouvelles règles concernant l'âge des candidats. Seuls les élèves majeurs - C'est-à-dire qui ont 17 ans ou plus - Seront autorisés à soumettre leur nom à la sélection. Il est en effet hautement improbable que des élèves n'ayant pas encore atteint la sixième ou la septième année d'études puissent les accomplir sans riques. Je m'assurerai personnellement qu'aucun élève d'âge inférieur à la limite imposée ne puisse tricher sur son âge pour essayer de se faire admettre comme champion de Poudlard par notre juge impartial.
Je vous demande donc de ne pas perdre votre temps à essayer de vous porter candidat si vous avez moins de 17 ans.
Extrait CHAPITRE 14 - "Les sortilèges impardonnables".
Premier cour de défenses contre les forces du mal avec le nouveau professeur Maugrey Fol oeil.
- Alors, dit Maugrey en interrongeant ses élèves. Quelqu'un peut-il me dire quels sont les maléfices que les lois de la sorcellerie répriment avec le plus de sévérité?
Plusieurs mains se levèrent timidement, y compris celles de Ron et d'Hermione. Maugrey montra Ron du doigt.
- Heu..., dit Ron d'une voix mal assurée, mon père m'a parlé d'un maléfice... Ca s'appelle le sortilège de l'impérium, ou quelque chose comme ça...
- Ah, oui, dit Maugrey d'un air appréciateur, c'est sur que ton père connaît celui-là. A une époque, il a donné beaucoup de fil à retordre aux gens du ministère, l'Impérium.
Maugrey se leva avec lenteur, ouvrit le tiroir de son bureau et en sortit un bocal en verre. A l'intérieur, trois grosses araignées s'agitaient en tout sens pour essayer de sortir. Maugrey plongea une main dans le bocal, attrapa une des araignées et la posa au creux de sa main pour que tout le monde puisse la voir.
Puis, il pointa sa baguette magique sur elle et murmura :
- IMPERO!
L'araignée sauta alors de sa main, se laissa descendre le long d'un imperceptible fil de soie et commença à se balancer comme si elle exécutait un numéro de trapèze. Puis, elle tendit les pattes et fit des saut périlleux en arrière, rompant le fil et tombant sur le bureau où elle se mit à faire la roue en décrivant des cercles. Maugrey agita sa baguette magique et l'araignée se dressa sur ses pattes de derrière en sautillant comme un danseur de claquettes.
Tout le monde se mit à rire, sauf Maugrey.
- Vous trouvez ça drôle, hein ?grogna-t-il. Ca vous plairait que je vous oblige à faire la même chose?
Les rires s'évanouirent presque instantanément.
- Contrôle total, dit Maugrey à voix basse. Je pourrais lui ordonner de se jeter par la fenêtre, de se noyer ou de sauter dans la gorge de l'un ou l'une d'entre vous... Il y a des années, nombre de sorcières et sorciers se sont retrouvés soumis à un sortilège de l'impérium. Quelqu'un peut-il me citer un autre sortilège interdit?
La main de Neville se leva.
- Oui? Dit Maugrey.
- Il y en a un... Le sortilège Doloris, dit Neville d'une petite voix.
- Le sortilège Doloris, dit Maugrey. Il va falloir l'agrandir un peu pour que vous compreniez mieux le principe.
Il pointa sa baguette sur l'araignée.
- Amplificatum! Murmura-t-il.
L'araignée enfla aussitôt. Elle était à présent plus grosse qu'une tarentule. Maugrey leva à nouveau sa baguette, la pointa sur l'araignée et murmura:
- ENDOLORIS!
Les pattes de l'araignée cédèrent alors sous son corps. Elle roulasur elle-même, agitée d'horribles convulsions, se balançant de tous côtés. L'araignée fut parcourue de spasmes et de tremblements de plus en plus violents.
- Arrêtez! S'écria Hermione.
Neville avait ses mains crispées sur le bord de sa table, ses jointures livides, ses yeux écarquillés de terreur.
Maugrey remis l'araignée à sa taille normale et la remis dans le bocale.
- La douleur, dit-il à voix basse. On n'a besoin d'aucune arme pour faire mal à quelqu'un quand on est capable de jeter le sortilège doloris... Celui-là aussi a été utilisé à une certaine époque.
La main d'hermione tremblait légèrement lorsqu'elle la leva pour la troisième fois.
- Oui? Dit Maugrey.
- Avada Kedavra, murmura Hermione.
- Ah, dit Maugrey en esquissant un sourire. Oui, le dernier et le pire. Avada Kedavra...Le sortilège de la mort.
Il glissa la main dans le bocal et, comme si elle devinait son sort qui l'attendait, la troisième araignée se mit à courir frénétiquement au fond du récipient pour essayer de lui échapper. Mais Maugrey l'attrapa et la posa à son tour sur le bureau où elle recommença à courir, en proie à une véritable panique.
Maugrey leva sa baguette et Harry fut parcouru d'un frisson comme s'il éprouvait soudain un mauvais pressentiment.
- AVADA KEDAVRA! Rugit Maugrey.
Il y eut un éclair aveuglant de lumière verte et un bruit semblable à une rafale de vent, comme si quelque chose d'invisible et d'énorme avait brusquement pris son vol. Aussitôt, l'araignée roula sur le dos. Elle était apparemment intacte mais il n'y avait aucun doute : elle était morte sur le coup. Dans la classe, plusieurs filles étouffèrent un cri. Ron se jeta en arrière et faillit tomber avec sa chaise lorsque l'araignée glissa vers lui.
D'un geste de la main, Maugrey balaya le bureau, jetant par terre le cadavre de l'araignée.
- Pas très agréable, dit Maugrey d'une voix calme. Pas amusant du tout. Et il n'existe aucun moyen de conjurer ce sortilège. Impossible de le neutraliser. On ne connaît qu'une seule personne qui ait jamais réussi à survivre et cette personne est assise devant moi.
Harry se sentit rougir lorsque les deux yeux de Maugrey fixèrent les siens. Tous les autres regards étaient également tournés vers lui. Son père et sa mère étaient morts de cette façon...
Extrait Chapitre 16 - " La coupe de feu".
Les élèves de Dumstrang et Beauxbâtons aptent de participer au tournois sont arrivés à Poudlard. La coupe de feu a été allumée afin que chaque personne puisse mettre leur nom et école dans la coupe, afin d'être selectionnée pour être le champion de leur école. Des élèves de 6ème année ont essayé de mettre leur nom dans la coupe : Impossible. Dumbledore avait raison.
La soirée de la répartition allait commencé. Tout le monde est dans la grande salle.
- Voilà! Dit Dumbledore. La coupe de feu ne va pa tarder à prendre sa décision.
Une langue de feu jaillit de la coupe de feu, et un morceau de parchemin noirci voleta dans les airs. Dumbledore attrapa le morceau de parchemin et lu le nom qui y était inscrit.
- Le champion de Durmstrang, annonça Dumbledore d'une voix forte, sera Victor Krum.
Victor Krum se leva et se dirigea vers Dumbledore. Il longea la table des professeurs et disparut derrière la porte qui donnait accès à la pièce voisine.
Le silence revint et tout le monde reporta son attention sur la coupe. Un deuxième morceau de parchemin en jaillit de nouveau.
- Le champion de Beauxbâtons, annonça Dumbledore, sera une championne. Il s'agit de Fleur Delacour!
La jeune fille se leva avec grâce et s'avançait d'une démarche élégante ves la porte. Elle disparut à son tour dans la pièce voisine.
Une fois de plus, les flammes de la coupe rougeoyèrent et un autre parchemin en sortit.
- Le champion de Poudlard, annonça Dumbledore, est Cédric Diggory!
Des acclamations s'élevèrent un peu partout dans la salle. Cédric, souriant, se dirigea vers la porte où s'était engouffré les autres champions.
- Excellent! S'exclama Dumbledore. Nous avons à présent nos trois champions! Je suis sur que je...
Mais Dumbledore s'arrêta soudain de parler et tout le monde vit ce qui l'avait interrompu.
Le feu de la coupe était redevenue rouge, et un autre parchemin en jaillit. Dumbledore l'attrapa d'un geste machinal. Il le tint à bout de bras et lut le nom qui y était inscrit. Un long silence s'installa, pendant lequel il continua de fixer le parchemin, tous les regards étaient tournés vers lui. Enfin, Dumbledore s'éclaircit la gorge et lut à voix haute:
- Harry Potter.
Extrait Chapitre 17 "Les quatres Champions"
Harry resta immobile, conscient que toutes les têtes s'étaient à présent tournées vers lui. Il était comme assommé, pétrifié. Il était en train de rêver. Ou bien il avait mal entendu.
Il n'y eut pas le moindre applaudissement. Une sorte de bourdonnement montait peu à peu dans la Grande Salle. Certains s'étaient levés pour mieux voir Harry figé sur sa chaise.
A la grande table, le professeur Mcgonagall se dressa d'un bond et se précipita pour murmurer quelque chose à l'oreille du professeur Dumbledore qui fronça légèrement les sourcils.
- Je n'ai pas mis mon nom dans la coupe, dit Harry avec un air de total incompréhension. Je n'ai rien fait, vous le savez bien.
Ron et Hermione le regardèrent avec la même expression ahurie.
A la grande Table, le professeur Dumbledore adressa un signe de tête approbateur au professeur McGonagall.
- Harry Potter! Répéta-t-il. Harry! Venez-ici, s'il vous plaît!
- Vas-y, murmura Hermione en le poussant avec douceur.
Après avoir passez plusieurs minutes avec les jurys qui acceptèrent que Harry participe au tournois, Harry monte dans son dortoir.
A son grand soulagement, il trouva Ron allongé tout habillé sur son lit. Personne d'autre n'était encore remonté dans le dortoir. Ron leva la tête lorsque Harry ferma la porte derrière lui.
- Où étais-tu ? Demanda Harry.
- Ah, tiens, salut, dit Ron.
Il sourrait, mais son sourire parraissait étrange et crispé.
- Alors, dit-il. Félicitations.
- Comment ça, Félicitations? s'étonna Harry.
Le sourire de Ron semblait être une grimace.
- Personne n'a réussi à franchir la limite d'Age, dit-il. Même pas Fred et Georges. Comment as-tu fait? Tu t'es servi de la cape d'invisibilité?
- La cape ne m'aurait pas permis de passer la ligne, répondit lentement Harry.
- Ah bon..., dit Ron. Je pensais que tu aurais peut-être pu me le dire si tu avais utilisé la cape... parce qu'elle est suffisamment grande pour nous cacher tous les deux, non?Mais tu as trouvé un autre moyen, on dirait?
-Ecoute, dit Harry, je n'ai pas déposé mon nom dans cette coupe. quelqu'un a dû le faire à ma place.
Ron haussa les sourcils.
- Et pourquoi, d'après toi?
- Je ne sais pas, répondit Harry.
Ron levait si haut les sourcils qu'ils disparaissaient presque sous sa frange de ses cheveux.
- Tu sais, à moi, tu peux me dire la vérité, reprit-il. Si tu ne veux pas que les autres le sachent, d'accord, mais je ne vois pas pourquoi tu te donnes la peines de me mentir. Finalement, tu n'as eu aucun ennui, non? A ce qu'il paraît, Dumbledore a accepté ta participation. Mille gallions de prime, hein? Et en plus, tu n'auras même pas besoin de passer les examens de fin d'année...
- Je n'ai pas mis mon nom dans cette coupe! répéta Harry qui commençait à sentir la colère monter en lui.
- C'est ça, lança Ron. Mais ce matin, tu as dit que, si tu avais voulu le faire, tu serais descendu la nuit pour que personne ne te voie... Je ne suis quand même pas complétement idiot.
- Tu sais très bien faire semblant, en tout cas, répliqua sèchement Harry.
- Ah ouais? Dit Ron.
Cette fois, il n'y avait plus de sourire, même forcé, sur son visage.
- Tu ferais peut-être bien d'aller te coucher, Harry. J'imagine que tu devras te lever tôt demain pour une séance de photos ou quelque chose dans ce genre là?
Et il tira d'un coup sec les rideaux de son baldaquin. Debout, près de la porte, Harry contempla le rideau de velours rouge sombre. Ils venaient de se refermer sur l'une des rares personnes à qui il pensait pouvoir dire la vérité en étant sûr d'être cru.
Extrait su chapitre 19 "Le Magyar à pointes"
Harry, après avoir vu ce que lui réservait la première tâche, est dans la grande salle entrain de communiquer avec Sirius dans la cheminée. Mais un bruit l'allerta et Sirius disparu.
C'était Ron. Vêtu de son pyjama violet, il se figea sur place en voyant Harry et jeta un coup d'oeil autour de la salle.
- A qui tu parlais? demanda-t-il.
- Ca te regarde? grogna Harry. Qu'est-ce que tu fais là à cette heure ci?
- Je me demandais où tu...
Ron s'intérompit et haussa les épaules.
- Ca ne fait rien, je remonte me coucher, dit-il.
- Tu voulais simplement venir fouiner? s'écria Harry.
- Désolé, répliqua Ron, le visage rougissant de colère. J'aurais du savoir que tu ne voulais pas être dérangé. Je vais te laisser t'entraîner en paix pour ta prochaine interview.
Harry saisit sur la table l'un des badges qui portaient les mots A BAS L'AFFREUX POTTER et le jeta de toute ses forces à travers la pièce. Le badge atteignit Ron au front , rebondit et tomba par terre.
- Voilà quelque chose que tu pourras porter mardi prochain (jour de la 1ère tâche du tournois, Ndld). Peut-être même que tu auras une cicatrice, maintenant, si tu as de la chance... C'est ça que tu veux, non?
Il traversa la salle commune en direction de l'escalier, espérant vaguement que Ron l'arrêterait. Il aurait même voulu qu'il lui donne un coup de poing, mais Ron se contenta de rester immobile dans son pyjama trop court et Harry monta les marches quatre à quatre. Furieux, il resta longtemps étendu dans son lit sans dormir et n'entendit pas Ron remonter dans le dortoir.
Extrait du chapitre 20 "La première tâche"
Le tour d'Harry (qui était le dernier à passer) arriva...
Il se leva avec l'impression d'avoir les jambes en guimauve et attendit. Puis, il passa devant le bouquet d'arbres, franchit une ouverture dans la palissade qui entourait l'enclos.
Tout ce qu'il voyait devant lui avait l'air de sortir d'un rêve aux couleurs aveuglantes. Des centaines et des centaines de visages le regardaient dans les tribunes qui avaient été dressées par magie. Le Magyar à pointes (énorme dragon) lui faisait face , à l'autre bout de l'enclos. Il couvait ses oeufs. Tel un monstrueux lézard aux écailles noires, le dragon agitait sa queue hérissée de pointes. La foule s'époumonait dans un grand tulmute. Le moment était venu de faire ce qu'il avait à faire... de concentrer pleinement, totalement, son esprit sur ce qui représentait sa seule chance...
Il leva sa baguette magique.
[...]
Vous voulez savoir la suite??
.........
......
....
...
??
- Accio Eclair de feu! Cria Harry.
Puis il attendit, espérant, priant de toutes les fibres de son corps... Et si le sortilège échouait... Si l'éclair de feu (son balai) ne venait pas... Tout ce qu'il voyait autour de lui semblait déformé par une sorte de barrière transparente, scintillante comme une brume de chaleur, derrière laquelle les centaines de visages l'entouraient avaient l'air de flotter étrangement...
Enfin, il entendit, fendant les airs derrière lui. Il se retourna et vit l'Eclair de feu contourner la lisière de la forêt, foncer vers l'enclos et s'arrêter net à mi-hauteur, juste à côté de lui, attendant qu'il l'enfourche.
|